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drap blanc

Le corps

Enveloppe éphémère qui nous accompagne sur terre

Sommes nous mettre de notre corps passager 

La nudité d’un corps, à la fois aimé et torturé

Un corps regardé, Un corps admiré, Un corps rejeté
 

On se tord, on s’étire, on se plie, on se modèle

Pour ressembler à qui à quoi, pour lui pour elle

Volupté secrète d’un désir voilé,
Une image, un reflet, où se cache la vérité ?

 

Le corps, écrin de notre âme en émoi,
À la fois fort et fragile, il se noie.
Aux sentiments charnels si essentiels,
D’un désir à la fois cruel et fusionnel.

 

A chacun son chemin intérieur

À la quête de ses propres valeurs.

L’acceptation d’un corps sensuel

Embaumé de fragrances arc-en-ciel  

 

@Béatrice Landré

 

Modèle @François Joël

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